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A n'utiliser que pour la simulation aérienne.
Bon à savoir
Larrêt des deux réacteurs en vol n'est pas extrêmement improbable. La conduite de l'avion et la remise en route des réacteurs doivent être les priorités.
Il peut être la conséquence :
En règle générale
Bon à savoir
Larrêt des deux réacteurs en vol n'est pas extrêmement improbable. La conduite de l'avion et la remise en route des réacteurs doivent être les priorités.
Il peut être la conséquence :
- D'une pollution ou d'une insuffisance de carburant (fuite, erreur de plein)
- D'un vol en conditions givrantes avec lENG ANTI-ICE sur OFF
- D'une coupure intempestive des ENGINE MASTER SWITCH
- D'une ingestion doiseaux au décollage
- De la pénétration dans un nuage de cendres volcaniques
- Il existe deux procédures ENGINE DUAL FAILURE avec et sans carburant à bord.
En règle générale
- Mise en descente pour accélérer vers 280 kt mini et privilégier le rallumage en moulinet assiette entre -2° et -5°.
- Trajectoire à court terme en fonction du relief, de l'altitude, des terrains (touche AIRPORT enfoncée).
- MAYDAY sur VHF 1, 7700 sur ATC 1.
- Etablir une stratégie en termes de trajectoire en prenant en compte léventualité d'un atterrissage forcé ou d'un amerrissage.
- Redémarrer en moulinet simultanément les 2 GTR : tentatives à renouveler autant de fois que possible, tout en prenant garde à ne pas couper un réacteur en cours de rallumage.
- En dessous du FL 250 : démarrage APU.
- En dessous du FL 200 : utilisation APU BLEED on passe alors à des tentatives de mise en route assistée, un réacteur à la fois.
- Dans tous les cas les tentatives de rallumage peuvent être effectuées aussi souvent que nécessaire.